L'automne est le printemps de l'hiver

Loin de moi l'idée de vouloir contredire Toulouse Lautrec avec cette jolie formule si poétique... Ceci dit, cette photo date du 16 octobre 2011. Si seulement notre bel automne pouvait durer...

Rien ne se perd, tout se transforme

Opération recyclage chez Bata, jusqu'au 19 octobre! Une très bonne initiative pour les bottes trop usées dont on ne sait pas quoi faire en général (à part les mettre à la poubelle).

Gand Loves Art

Je ne peux que recommander d'aller visiter le musée du design à Gand. On a eu la chance de tomber sur deux très belles expos temporaires. La principale était "L'essence des choses" ou comment le design opère la réduction des objets d'un point de vue esthétique et fonctionnel. Très intéressant et instructif.

L'Atomiuim de Bruxelles!

Quelques chaises appartenant à la collection permanente:

 La deuxième expo temporaire était dédiée à Esprit Porcelaine, un collectif d'artistes qui travaille sur la porcelaine de Limoges.

Et dans les rues de Gand...

J'adore cet hommage à Magritte ^^

Et ceci n'est pas du chocolat :)

In Ghent

Je crois que s'il y avait eu un film ayant Gand pour décor, il n'aurait peut être pas autant de charme que In Bruges. Mais peu importe, la ville reste tout de même très sympathique et recèle des endroits assez atypiques (ou alors typique de la Flandre sans doute! :)
La comparaison s'impose car la Lys passe à travers la ville et forme des canaux comme à Bruges.

Comme à Bruges, il y a un beffroi, sur la place St Bavon, où se situe la cathédrale qui expose un Agneau Mystique ^^.

Le Château des Comtes de Flandre se situe en plein centre ville, au bord de la rivière. Le parcours de visite est assez ludique et bien foutu (beaucoup de salles de tortures en plus), un must see à Gand.

L’hôtel de ville est assez déconcertant avec sa double architecture gothique et romaine.

Par contre, les frites (et le chocolat), c'est pas autant leur truc qu'à Bruges, malgré tous nos efforts!

Cela dit, il y a quand même de bonnes choses à manger. Sur Donkersteeg, il faut regarder par terre, il y a quelques astuces pour manger son homard, mais il semble aussi y avoir des bons restaurants.

Sinon, les pâtisseries, c'est chez Julie (Krannlei 13)

On how time flies

Bon anniversaire le blog! Un an déjà...
Très heureuse d'avoir pu te nourrir régulièrement (plus difficilement l'hiver!) parce que ça me permet de retracer mes souvenirs, mes idées et mes émotions plus fidèlement que ma petite cervelle qui oublie vite et facilement.
Bien qu'en réalité, le blog me soit égoïstement destiné en premier lieu, j'espère que les quelques rares personnes qui le lisent prennent autant de plaisir à le lire que moi à l'écrire et à l'illustrer surtout, puisque c'est l'achat de mon appareil photo qui m'a inspiré à l'ouvrir.
Et merci aux gens qui m'ont accompagnée (et qui m'accompagnent encore aujourd'hui) au fil de mes voyages/découvertes/impressions.

Les bocaux de chez BOCO

Dans une quête perpétuelle pour manger un peu plus sainement depuis quelques mois, depuis une certain reportage vu sur Capital Terre, je suis tombée sur le concept de BOCO.
Points positifs:
- cuisine de grands chefs
- à prix raisonnable (comparable à ceux que pratiquent Monoprix par exemple)
- avec une majorité d'ingrédients issus de l'agriculture biologique
- le propriétaire (un chef souvent vu à la télé) y met vraiment la main à la pâte puisque je l'ai vu un samedi midi en cuisine
- l'équipe a l'air sympathique malgré le lieu très "bobo"
Le seul point négatif que je pourrais y voir, c'est le succès de l'endroit, qui doit être bourré de monde aussi bien en semaine que le samedi.
Pour ma part, j'ai pris quelques bocaux à emporter au jardin des Tuileries en ce début d'automne qui ressemble à s'y méprendre à l'été...

Die Blanche N'Art

Le point d'orgue de cette 10e édition de la Nuit Blanche à Paris fut incontestablement Purple Rain dans le Marais. Pour être passée devant, il fallait environ faire 2 heures de queue pour se promener 5 minutes sous une pluie battante au son de la célèbre chanson de Prince. C'est un peu trop en demander pour de l'art contemporain à mon avis.
Le hasard a fait qu'on est tout de même passées devant quelque chose de peu banal vers Châtelet, devant le fameux immeuble du squat des artistes.

 Un spectacle un peu burlesque suivi d'un ballet aérien sur la façade était présenté par deux artistes italiens.

 Tout un programme avait été concocté par le collectif d'artistes du 59 Rivoli pour la Nuit Blanche et leurs ateliers ouverts à tous.

 Moi qui pensais tomber sur un squat insalubre et un immeuble à moitié croulant, j'ai été surprise de constater que les ateliers sont spacieux et tout à fait fonctionnels. Bon, ça ressemble à un joyeux bordel à certains endroits, c'est parfois un peu intimidant, on tombe sur des œuvres pas toujours très conventionnelles ou compréhensibles mais la visite vaut tout de même le détour.